• Sur le plateau des Bolovens, chutes de la rivière Sé

    Les chutes Tad Lo

    Les chutes Tad Lo

    Les chutes Tad Lo

    Les chutes Tad Lo

    Les chutes Tad Lo

    Les chutes Tad Lo

    Les chutes Tad Lo

    Les chutes Tad Lo

     

    Si, si, c'est très solide

    Les chutes Tad Lo

     

    Les chutes Tad Lo


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  • La maison des esprits, au centre du village .Les katu sont animistes.

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    La plaque indique le nom du district, le nom du village, le numéro de la maison.

    Les piliers des maisons sont montés sur des pierres pour que les termites ne puissent pas monter.

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

     

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

     

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

     

    Une femme trie le tamarin (sert à teindre le coton ou la soie)

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Les enfants sont contents de recevoir les petits jouets qui m'avaient été donnés par Max et Jules

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua

    Le village katu Ban Kok Phoung Neua


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  • Les maisons sont basses, sur pilotis, comme les maisons kamu. Les gens cultivent le thé, le café, font de l’élevage. Ils sont animistes et entre eux, ils parlent en dialecte. Dans ce village, nous avons vu le travail du café. Après le décorticage du café (pulpe enlevée), 1 kg est vendu 10 000 kips. On laisse ensuite sécher puis on enlève le mucilage. Pour enlever la pulpe, on fait tremper les grains dans l’eau à 40° toute la nuit (« café lavé »). Il faut laisser sécher les grains pendant 10 jours pour enlever le reste du mucilage. Sinouk achète les grains ainsi traités. Les grains sont ensuite torréfiés.

    Village d'ethnie kamou sur le plateau des Bolovens

    Village d'ethnie kamou sur le plateau des Bolovens

    Village d'ethnie kamou sur le plateau des Bolovens

     

    Village d'ethnie kamou sur le plateau des Bolovens

    Village d'ethnie kamou sur le plateau des Bolovens

    Village d'ethnie kamou sur le plateau des Bolovens

    Village d'ethnie kamou sur le plateau des Bolovens

    Village d'ethnie kamou sur le plateau des Bolovens

    Village d'ethnie kamou sur le plateau des Bolovens

    Village d'ethnie kamou sur le plateau des Bolovens


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  • Le plateau des Bolovens se situe de 300 à 1700 m d’altitude, le sol volcanique est très riche : ce sont les conditions idéales pour la culture du café. Nous avons visité la plantation Suan Sinouk, visite suivie du repas au restaurant puisque la plantation abrite également un hôtel-restaurant. La plantation associe thé et café. 35 familles vivent ici.

    Le thé et le café ne sont pas dans la culture d’origine des Laos : le thé a été introduit par les Vietnamiens et les Chinois et le café par les Français, en 1920.

    Le thé se récolte tous les quinze jours ou toutes les semaines, selon la saison. Il est meilleur en saison sèche car il pousse lentement. Les différents thés poussent sur la même plante, mais ont une maturation différente. Pour obtenir du thé vert, on fait sécher les feuilles et on les passe au four pendant 4 heures, en ajoutant parfois du jasmin ou autres fleurs parfumées. Pour le thé jaune, les feuilles sont grillées pendant 15 min à 30°, on laisse fermenter toute la nuit puis on grille. Pour le thé rouge, c’est la même préparation, mais les feuilles fermentent pendant 3 jours, elles sont ensuite grillées puis tamisées. Les feuilles de thé noir sont massées (malaxées), elles fermentent pendant 3 jours, sèchent au soleil puis sont grillées. Le thé blanc est obtenu à partir de bourgeons terminaux qui sèchent au soleil.

    Le café et le thé des Bolovens

    Le café planté ici est de l’arabica, du robusta et de l’excelsa. L’arabica est le plus apprécié et cultivé en altitude. C’est celui que nous avons bu à la plantation (torréfaction à la française). Les grains sont allongés, ce café contient moins de caféine, il est doux et parfumé et plus cher. Le robusta peut être cultivé à basse altitude, il est plus résistant, moins cher, amer et contient davantage de caféine, les grains sont petits et ronds. Quand nous avons visité, c’était la fin de la récolte. Les grains de café séchaient un peu partout au bord des routes.

    Après la visite, nous avons pu déguster différents thés et café, ce qui nous a permis de choisir et d’acheter du thé rouge, du noir et du blanc et du café arabica, goût français.

    arabica ou robusta ?

    Le café et le thé des Bolovens

    robusta ou arabica ?

    Le café et le thé des Bolovens

    Le café et le thé des Bolovens

    Le café et le thé des Bolovens

    j'ai également acheté des fleurs d'hibiscus sabdariffa qui servent à fabriquer le carcadet . On fait infuser pour obtenir une boisson rafraîchissante et acidulée qui peut se boire chaude ou froide.

    Le café et le thé des Bolovens

     

    Le café et le thé des Bolovens

    Le café et le thé des Bolovens

    la promenade dans la plantation était très agréable.

    Le café et le thé des Bolovens

    Le café et le thé des Bolovens

     


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  • À 7 h 30, après avoir vu le tak bat, nous partons en direction de Paksé à travers le plateau des Bolovens. Tout le long de la route, nous voyons des villages. Le manioc sèche sur le sol.

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

     

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    Les enfants vont à l’école. 85% vont à l’école, soit le matin, soit l’après-midi. Il y a 41 ans, avant la Révolution, 14 % seulement allaient à l’école.

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

     Les roseaux servent à faire des balais.

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    Les rizières sont à sec car les paysans n’ont pas assez d’argent pour irriguer. On appelle ces rizières « les rizières de la pluie » car on attend la pluie. Il n’y a qu’une récolte par an.

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

     

    Cigares :

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

     

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    café :

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

     

    Nous nous arrêtons pour admirer les chutes Tad Phane. Ce sont les plus hautes du Laos (150 m) et résultent de l’alliance des fleuves Champy et Pak Koot. Phane signifie « cerf », une biche se serait noyée à cet endroit.

     

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens

    De l'île de Khong à Paksé, le plateau des Bolovens


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