• Beaucoup de finesse et de réalisme dans ces mosaïques du musée archéologique de Naples (elles proviennent des villes de Pompéi et Herculamum) :

    Cave canem !

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

     

    combat de coqs : 25 tesselles au cm² !

     

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

     

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

     

    scènes de théâtre :

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

     

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples

     

    la Vénus à la sandale (marqueterie de marbre)

    Les mosaïques du musée archéologique de Naples


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  • La collection Farnèse :

    Hercule tient une massue recouverte de la peau du lion de Némée et dans l’autre main les pommes du jardin des Hespérides.

    La collection Franèse au Musée archéologique de Naples

    Le Taureau : cette composition de marbre mesure 4 mètres de hauteur et pèse 24 tonnes. Cette sculpture raconte l’histoire de Dircé, attachée par les cheveux à une corne d’un taureau avant d’être précipitée du haut d’un rocher dans la mer par Amphion et Zéthos, les fils d’Antiope. Celle-ci, séduite par Zeus, fut punie par son oncle Lycos et maltraitée par la femme de celui-ci, Dircé. Devenus grands, les jumeaux décidèrent de venger leur mère et de  punir Dircé. Les dieux, émus par le supplice de Dircé, la changèrent en source.

    La collection Franèse au Musée archéologique de Naples

     

    La Vénus callipyge regarde ses fesses. Cette statue fait allusion à légende deux sœurs de Syracuse «aux belles fesses » dont tombèrent amoureux deux frères. La Fontaine en fit une fable.

    La collection Franèse au Musée archéologique de Naples

    La collection Franèse au Musée archéologique de Naples

    Flore, déesse des fleurs et des jardins

    La collection Franèse au Musée archéologique de Naples

    un faune :

    La collection Franèse au Musée archéologique de Naples

    Aphrodite :

    La collection Franèse au Musée archéologique de Naples

     

    Athena :

    La collection Franèse au Musée archéologique de Naples

    l'empereur Claude :

    La collection Franèse au Musée archéologique de Naples

     

    Il y a également des têtes d'empereurs. Statues d’empereurs (Claude). Têtes d’empereurs. Les empereurs étaient vénérés comme des dieux à leur mort au cours de leur  enterrement (l’apothéose). Les mauvais empereurs n’avaient pas de statues , ils étaient condamnés à être oubliés et on détruisait leurs portraits. De ce fait, on n’a pas beaucoup de statues de Néron, de Caligula. Il y a beaucoup de têtes d’empereurs . À cette époque, quand on changeait d’empereur, on remplaçait seulement la tête et non toute la statue.

    camées en agate :

    La collection Franèse au Musée archéologique de Naples

     


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  • Le Duomo, cathédrale Saint Matthieu a été construit au XI è siècle par un Normand, Robert Guiscard.  Le campanile est de style arabe-normand. La porte en bronze a été fondue à Constantinople au XI è siècle.

     

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    L’entrée comporte un portique avec des colonnes d’époque romaine. Tout autour, se trouvent des sarcophages.

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

     

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    L’intérieur est en forme de croix latine avec 12 chapelles latérales.

    Les ambos (chaires destinées aux nouveaux chrétiens pour proclamer leur foi) sont décorés de mosaïques et reposent sur des colonnettes.

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    L’ambon principal repose sur 12 colonnettes.

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

     

    Les mosaïques ressemblent beaucoup à celles de Montreale près de Palerme. 

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

     

    Devant lui, se trouve l’important candélabre décoré de mosaïques qui porte le cierge pascal. les lignes zigzag représentent la condition humaine et les droites obliques l’homme qui accède au ciel.

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    La chapelle de Saint Grégoire est appelé e chapelle des croisés car c’est là qu’on bénissait les armes des croisés. Elle renferme le tombeau de Grégoire VII.

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

     

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Portrait du prince Romualdo qui avait insisté auprès de Robert Guiscard pour la construction de la cathédrale.

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Chapelle de gauche : monument funéraire de Marguerite de Durazzo, épouse de Charles III d’Anjou.

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

     

    La crypte contient les reliques dites de Saint Matthieu.

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

    Les belles mosaïques du Duomo de Salerne

     


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  • Métopes qui viennent du temple d’Héra. Heraclès tuant le géant Alcyonée

    Le musée de Paestum

     

    Le musée de Paestum

    Statuette d’Héra tenant une grenade et une assiette à offrandes. On donne des offrandes pour obtenir la fécondité.

    Le musée de Paestum

    Le musée de Paestum

    Cratère (origine étrusque) : on offrait du vin additionné d’eau au moment des banquets

    Le musée de Paestum

    svastika, symbole du soleil

    Le musée de Paestum

     

    Zeus (origine étrusque : yeux, cheveux, barbe)

    Le musée de Paestum

     

    Coupe (kylix) offerte pour boire le vin dans les banquets funéraires (=les symposions)

    Le musée de Paestum

    Le musée de Paestum

    Le musée de Paestum

    vase :

    Le musée de Paestum

     peintures tombales étrusques : combats de gladiateurs, pleureuses (les larmes étaient posées dans les tombeaux)

    Le musée de Paestum

     

    Le musée de Paestum

    Le musée de Paestum

    Le musée de Paestum

    Le musée de Paestum

    Le musée de Paestum

     

    vase des tombes d femmes : petit vase en trois parties . On aspergeait le corps de la femme à la naissance, au mariage, à lamort

    Le musée de Paestum

     

    vase à eau

     

    Le musée de Paestum

     

     


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  • C'est le clou du musée

    La tombe du plongeur,  découverte en 1968, est la seule tombe grecque de cette époque avec des peintures tombales trouvées jusqu’à présent .  Elle daterait de 480 avant Jésus-Christ. On la nomme « la tombe du plongeur » à cause de la peinture sur la face interne du couvercle.  Ce n’est pas à proprement parler un plongeur, cette peinture représenterait  le passage du monde connu dans un monde inconnu (à droite du plongeur, les colonnes d’Hercule au détroit de Gibraltar étaient la limite du monde connu pour les Grecs. Les arbres dépouillés symbolisent la mort d’un être jeune.   Le chiffre 7 (dans les colonnes et dans les oliviers) représenterait la régénération.

     

    Paestum : la tombe du plongeur au musée

    Les autres dalles représentent des banquets. Le défunt doit quitter les joies de la terre (musique, poésie, nourritures).

    Paroi sud : Les convives (les comastes)allongés sur un klinai ont une coupe (kylix) à la main. Ce banquet est un symposion et les femmes n’y étaient pas conviées. A gauche, un homme seul tient une lyre dans une main et un œuf dans l’autre, symbole d’immortalité. C’est lui qui est le plus près de la tête du mort. Le couple de droite joue de l’aulos (double hautbois) et du barbitos (lyre). Au centre, le couple joue du au jeu du cottabe (ce jeu d’adresse consistait à lancer du vin dans un bassin posé par terre).

    Paestum : la tombe du plongeur au musée

     

    Côté est : Un éphèbe échanson tourne le dos à un cratère  (vase où l’on mélangeait l’eau et  le vin) et s’en va servir un convive). La tête du mort était placée vers cette face. Le contenu du cratère symboliserait l’eau de jouvence.

    Paestum : la tombe du plongeur au musée

    Paroi nord : Le couple de droite est pris dans une scène amoureuse. Il est le plus près de la tête du défunt et c’est lui qui s’apprête à être servi par l’œnochoé. Le jeune homme tenu par la nuque pourrait être le défunt.  Le personnage central les regarde d’une façon jalouse. Il n’y a pas d’homosexualité au sens contemporain  mais signe d’une sexualité ritualisée et codifiée entre hommes, ce qui n’exclut pas la femme.

     

    Paestum : la tombe du plongeur au musée

    Paroi ouest : à droite,  une femme joue de l’aulos (on différenciait les femmes des hommes en les peignant la peau claire), un jeune homme quitte le banquet et s’approche du tremplin (c’est peut-être le défunt), Il est suivi par le pédagogue.

    Paestum : la tombe du plongeur au musée

    Paestum : la tombe du plongeur au musée


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