Ce matin, Guy a reçu une carte de Freezia portant la recette du backeoffe : merci Freezia ! il était très étonné mais ravi d'avoir reçu cette carte ! une carte rien que pour lui ! On reconnaît bien là la gentillesse de Freezia qui s'est souvenue que Guy avait préparé ce plat il y a deux semaines !
Je vous recopie la recette du backeoffe. Appelé autrefois le plat du pauvre (on le faisait avec des restes de viandes) il était cuit dans le four du boulanger.

Recette pour 8 personnes :
500 g de mouton, 500 g de boeuf, 1 kg de filet de porc, 1 pied de porc. faire mariner la viande coupée en morceaux moyens, dans du vin d'Alsace pendant 24 heures avec oignons émincés, ail, bouquet garni, thym, laurier, sel et poivre.
Couper en tranches très fines 1 kg de pommes de terre, 1/2 livre d'oignons, 3 carottes (Guy a ajouté des poireaux)
Dans une terrine beurrée mettre alternativement une couche d'oignons, une couche de pommes de terre, la viande et les rondelles de carottes (et les poireaux). Recouvrir avec la marinade (filtrée) avec un peu de vin et 2 verres d'eau. Luter le couvercle (cela veut dire fermer avec un boudin de pâte obenue en mélangeant de la farine avec un peu d'huile). Mettre au four pendant 2 heures et demie à four 180°.
On sert le backeoffe dans la terrine.
Comme nous n'avons pas de terrine assez grande, Guy l'a préparé dans une cocotte en fonte et une petite terrine à pâté.
Et j'ai quand même participé car c'est moins qui ai luté le couvercle.

Une recette très connue, je vous la donne quand même !
mélanger 4 oeufs, 1 boîte de lait condensé sucré, remplir la boîte vide de lait normal, ajouter un peu de vanille et 125 g de noix de coco râpée.
Verser dans un moule caramélisé et faire cuire au bain-marie pendant 45 minutes à four 200°

Laurent et Sandrine, revenant de Budapest, ont demandé à Guy de leur faire une soupe de goulash.
Faire dorer 200g  oignons dans du saindoux, puis 500 g de viande de beouf coupée en petits morceaux et 2 gousses d'ail hachées. Saupoudrer avec 1 cuillère à café de paprika doux et 1 cuillerée à café de paprika fort. 
Mouiller avec 3/4 litre de bouillon (il a utilisé du bouillon de cuisson de légumes avec un peu de bouillon de boeuf en tablette), assaisonner avec du cumin et de la marjolaine. Faire mijoter à feu doux pendant 45 min. Ajouter un piment rouge coupé en morceaux, 750 g de pommes de terre, un poivron coupé en dés, une tomate. Faire cuire encore pendant 25 min.

En fait, il n'a mis ni piment ni paprika fort pour que Marie puisse en manger. Laurent et Sandrine ont trouvé que cela ne ressembalit pas trop au goulash qu'ils ont dégusté à Budapest mais que c'était délicieux quand même ! Et ce soir, cette soupe réchauffée était encore meilleure !

Ça y est ! le transfert est terminé, le téléphone illimité est installé sur la livebox, le carnet d'adresses et tous les anciens messages ont migré eux aussi ! je remercie Dominique et mon mari qui ont travaillé pendant des heures pour cela ! Mais maintenant je peux travailler plus rapidement !
 Et merci pour vos encouragements ! je vais faire du tri dans les anciens messages et le carnet d'adresses et continuer à rapatrier les photos. Et, miracle ! le vieil ordinateur, qui a planté 20 fois hier, depuis qu'il est débarrassé d'internet, fonctionne comme un jeune !
Donc hier, journée chargée car avant de recevoir la livebox, j'avais entrepris de faire de la gelée de coings  et de la pâte de coings ! 3,5 kg de jus ce qui m'a fait 12 pots (malheureusement la gelée a mal pris, incompatibilité entre le jus de citron et le confisuc peut-être !), et la pulpe coupée en petits morceaux, j'en ai utilisé une partie pour faire une tarte aux coings. Et j'ai congelé les autres morceaux de coings pour les utiliser plus tard car demain je pars en week-end généalogie.

Sur la pâte j'ai mis de la poudre de noisettes puis les fruits coupés en morceaux et cuits jusqu'à ce qu'ils soient tendres (le jus servant à la gelée), puis j'ai versé une crème faite avec 2 œufs, une cuillère à soupe de maïzena et 100 g de sucre, et j'ai saupoudré de poudre de noisettes. Nous avons "dégusté" ce gâteau à notre rencontre de point compté du jeudi. Il a été, semble-t-il apprécié !

Une chanson ? Robert Zimmerman, alias Bob Dylan
Blowing in the wind

Je n'ai pas de coings dans le jardin mais j'ai un cognassier du Japon. Je me souviens que j'avais trouvé que Franquie avait fait un drôle de commentaire "ça se mange ?". Pour moi ces "pommes" du Japon n'étaient pas comestibles mais une amie m'a dit qu'on pouvait en faire de la gelée.
Effectivement sur Internet j'ai trouvé des recettes. Malheureusement je n'ai pas écouté le conseil qui dit que quand on fait des confitures on ne fait rien d'autre ! je n'ai donc pas surveillé la cuisine et je n'ai obtenu aucun jus ! Alors j'ai mouliné la chair, ajouté autant de sucre, de la cannelle, du sucre vanillé et de l'anis étoilé. J'ai obtenu une pâte épaisse (ces pommes contiennent davantage de pectine que les coings)
Cela donne une pâte citronnée, un peu acide mais pas désagréable. Je pense qu'il faudrait ajouter des pommes pour atténuer l'acidité. On parle souvent de pommier du Japon, en fait il faudrait dire "cognassier du Japon" car les fruits rappellent davantage les coings que les pommes. Cet arbuste s'appelle le chanomeles. Les pépins ont des vrtus médicinales, on extrait des fruits un parfum : l'essence de cananga et on peut faire de la gelée ou de la liqueur avec les fruits. Qui a déjà fait de la gelée avec ces fruits ?